Les Axes d’effort géographiques

Publié le 21 Septembre 2012

Les Axes d’effort géographiques

L’Europe et la France ne doivent pas être délaissés notamment dans le domaine de la pollution et de la meilleure utilisation des nappes phréatiques. ALQUEMIA analyse l’idée de la création d’usines de désalinisation pour recompléter les nappes par apport d’eau via aqueducs enterrés jusqu’au centre des pays.
Les actions apparaissent importantes dans les pays en développement qui nécessite un accompagnement global.
Correction d’actions déstabilisatrices :
Asie : l’Ouzbékistan manque d’eau : jadis le niveau de la mer d’Aral au Nord du pays, 4° mer fermée de la planète, était tellement haut qu’on craignait qu’elle ne rejoigne la Caspienne. Aujourd’hui suite au détournement du fleuve Amour pour l’irrigation des champs de coton, la mer a perdu 60% de son volume et son port de pêche. La région est dépendant des ONG qui n’ont pourtant pas vocation à se substituer aux Etats. Ceci sans oublier les sites de Samarcande sur l’ancienne route de la soie et de Boukhara.
Moyen Orient et Proche Orient :
Gestion des sources de tension:
rivières communes : Turquie, Lyban, Israël, Iran, Irak

Aquifère de la montagne qui s’étend entre Israël et la Cisjordanie (Israël consomme 85% de la ressource alors que la nappe est alimentée par le territoire palestinien

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